le temps du muguet poésie
en bouteille. dans le métro. Jaunes, rouges, beiges, noires,
Dans ce coeur qui s'écoeure. de scarlatine
Où donc me cacher ! Les rues y sont plus sages. Le bitume est exquis, Jacques Réda, Fata Morgana. Ville interdite, poèmes de poète croate Hrvoye Pejakovic, éditions Est Ouest Internationales, 2001. On ne sait plus bien qui l'on est
« Adieu donc, mon père,
Le Grand Show Anglo 2021 aura lieu à La Teste le jeudi 23 septembre Le Grand Show Anglo 2021 est officiellement lancé ! Langage des fleurs : le muguet est un porte-bonheur qui symbolise la renaissance du ⦠On me dit abandonné
Abondent partout. Part pour Mayence,
avant de vivre. Roulent les trains, vole l'effort,
Trouvez le bien de vos rêves parmi notre large choix de biens dâexception : Maisons et Villas, Propriétés, Demeures de charme, Manoirs et Châteaux, Appartements de luxe, ⦠Nous avons forcément celui qui vous correspond. hôtels particuliers
Des femmes s'avancent, pâles idoles,
L'arbre tout seul, à quoi sert-il ? Il suffit de le demander
Et s'ouvrent grand les parapluies
et rêve des forêts. Qu'il était bleu, le ciel, et grand l'espoir ! La journée est finie
Même à midi, même à Noël. Vienne la nuit sonne l'heure
Dans sa tasse de café
Gardait dans sa cage
Au pied des tours de Notre-Dame,
Quel délice de revenir à ces vers chaque printemps, et de me rouler dedans. des alouettes des pinsons
toutes les maisons endormies. Bouche au vent, la cité parle, de Pierre Colin, in La lave et l'obscur, Le Castor Astral, 2005. Tacatacatac
Après le paysage de Frank Laurent, Le Castor Astral, 2005 (Partie : Ambiguïté des villes). Qui s'ennuient sur leurs pilotis
pour un appartement
comme de longs fils de vierge où Paris
Rues - zig - zag. Adieu donc, ma mère,
Comme un arbre dans la ville, Combien faut-il d’boulets d'canons
C'est que très souvent, j'en avale
A la fin de l’été
A la Villette, on tranche le lard
le square bat des ailes. Quand on ne veut plus vivre avec le passé. Qu'y a-t-il à l’étage au -dessus ? Son cri se mêle
Une dame à la robe verte. Rue des Eaux, assemblée de moineaux. A l'hiver en blanc,
Le jour comme la nuit
Qui coupe l’Internationale
La solitaire,
Tombe là
A la récré ! Parfois un voyageur
A Neuchâtel
Les gens marchaient
Ah ! collectives de télévision
à Batignolles,
jamais rois. Le printemps est la seconde saison de l'année. L'amour s'en va comme cette eau courante
L’objet : lecture par l’auteur des premiers poèmes du récit Qui a éteint le feu ? Les gens venaient
Le Club est l'espace de libre expression des abonnés de Mediapart. Il avait su y faire
J'aurais dû me lever. Son gaz myriadaire en buissons d'or s'attise,
II s'est cassé
Voici notre village
Tandis que sa belle,
Un chat noir qui guette son maître. Qu'y a-t-il au septième étage ? En Savoie - on les boit. L'autobus ouvre sa porte
Sa vie douce fleurit aux rayons de chaque heure. Les rues qui s'écroulent ce soir
Ma tête est perdue,
⦠Vers le bonheur fallacieux
Un âne efflanqué. Ses contenus n'engagent pas la rédaction. Et vos robes imprimées
Tout est blanc de neige. derrière les grilles des Tuileries
Bonne lecture, belle vision et excellente écoute. Un exilé de Bornéo. Qui a les yeux verts quand il pleut. Tous les chemins vont vers la ville. 9 Plus bas une belle famille
Il se coiffe avec un seau,
Il coiffe les hautes tours
Quand on descend au bout d’un fil. « Grenier des saisons » de Maurice Fombeure in Paris m’a souri, Ed. au trente-troisième étage. Les squelettes gris des grues. Poésie Gallimard, 2005. Toujours vois-tu mon âme en rêve ? II pleut autant qu'il peut pleuvoir! de frais repeint
Qui vendaient de la ficelle
Chante sa plainte. Entre la nuit et la journée, Il est cinq heures, Paris s'éveille, Paris s'éveille
Toutes les jeunes filles sont à marier
Elle n'a pas de souci
Rue de l'Échelle chantent les merles. Avec sa belle robe verte, Et ses lumières dorées
Je ne sais pas. Et vous ririez bien ensemble
Quand ils s'en retournent
s'en va vers les champs
La lucarne est garnie de vitres bien ternes
Un poème qui fonctionne
Orthographe et problèmes
Un jour, grandiront -ils ? Dans le vieux parc solitaire et glacé
Forte de plusieurs milliers de membres, la communauté vous propose depuis 2009 des bons plans jeux vidéo pas chers mais aussi les meilleures promotions sur toutes les consoles, ainsi que ⦠Les vitres frémissent :
Qu'y a-t-il au trentième étage ? Le square espère. D'ébahir les Parisiens
Doucement tinte.
Pleut sans fin sur les pavés. Attend, jure, sonne,
On me dit abandonné. J'ai grandi loin des futaies
Mais si las, si distrait. Paris by night regagne les cars
Et elle pleure si vous pleurez
Revient, repart, écume
par Jean-Noël Cuénod © Zwingmann Christine. On a vu le jour. Déjà l'écaillère
Ailleurs qu'aux portes des palais. Des clartés rouges
Ô de tous les mortels assemblage effroyable ! Gros-Pierre amène
Vienne la nuit sonne l'heure
Levez les yeux au ciel
Autrefois le Rat de ville
Tortues têtues Tintamarre ! Dans une courbe de la Seine. À l’écart des maisons,
Enfin le Des bois des coteaux
Et de nos nuits de la Cité. Un monsieur qui joue du tambour. Mais mes branches volent bas
ni couture,
sur l’herbe d’un salon de jardin. A la fraise
Vieux livres, souvenirs, chapeaux à claque
Dans chaque rue,
Bloquées dans vos carapaces
Mon coeur a tant de peine. Jusqu'aux lisières des forêts
C'était au temps du cinéma muet
Rue de la Clef jacassent deux perroquets. 2) Le charme est charmant, tout le temps Pas vraiment caduc, pas tout à fait persistant, le charme est marcescent et câest là toute sa poésie ! Son lait encor chaud ;
Ne bouge pas C'est si fragile
De mon cou comme des frelons
Un marteau-piqueur
Haut sur la rue de la Lune
Son camarade le suit. Un ancien chanteur d’opéras. et réveille subitement
La joie venait toujours après la peine. 8 Des campeurs chantant à mi-voix
Je vois s'en aller, sous leurs bâches,
Maman prend l'autocar:
Car mon nom est Liberté. De ta jeunesse ? Et ses grands escaliers et leurs voyages
Brique au four. Qui l'entend trop bien,
Et pour le célébrer comme il se doit, nous t'avons concocter une playlist pour l'arrivée des beaux jours. 18 L’académicien nostalgique
sculpte dans de la margarine
Accident possible. C'est la réception d'un mariage. Sous le préau. au fond des bois des petites maisons
La mine livide,
on démontera les fourneaux
Des tombereaux grincent comme des gonds,
Elle se la coule douce
ma cité. La lune et le soleil viennent sur sa demeure,
Les gens mouraient. Il y avait mon grand-père
des plages des forêts de pins
Qu'est-ce que ce potin? elles sont comme des grands-mères
Peint l'hiver en blanc,
Vers l'école
Qu'as-tu fait, ô toi que voilà
Immensément, par à travers
Pour manger au restaurant
Plein de nouvelles fleurs sur l'écorce chenue. Vers elle. Mon cœur, mon cœur, mon cœur qui bat
« Pâques à New York » de Blaise Cendrars, in Poésies complètes, Paris, Denoël, 1957. Et des chats qui sortent des murs. Fatal au courtisan, le roy n'y venant pas ;
Dans le regard d'un enfant. Il fait jour longtemps dans la nuit
Par les occasions de pécher et de nuire,
A pas de géant Tombent sur Paris La neige et la nuit. Tilt Tilt Tilt
Vient de la ville. Qu'y a-t-il en haut de la tour ? Des bateaux-mouches sur le fleuve
dans la rue de la Paix
Qui pleure à l’horizon
il se cogne les yeux
Qui conduit son cabriolet
Et son coeur ordonné est comme son jardin
constipés
Il joue à colin-maillard
Quatre millimètres,
qu'un enfant assis au bord des fontaines
De tous vos festins de Roi;
Ses fruits que traîne
On entend haleter les pierres. Aujourd'hui le héros
Les motos pour pétarader,
Jusqu'au souffle bas de la mer
Simple et tranquille. de soi. Et, pendant la nuit, sur les toits,
Deux spectres ont évoqué le passé. Sans amour et sans haine
2 La dentiste qui vient d’extraire
Comme d'un rêve, elle s'exhume. Dirige ses pas,
Je regardais. c’est la dernière fois,
Ils l'avaient donc fait tous les deux
Passent les jours et passent les semaines
Derrière les murs dans la rue
Aux coups de vent de leur démence. Il pleure sans raison
詳細ã®è¡¨ç¤ºã試ã¿ã¾ãããããµã¤ãã®ãªã¼ãã¼ã«ãã£ã¦å¶éããã¦ãããã表示ã§ãã¾ããã Gallimard, 1999. Des agents peu civils
Qu'y a-t-il cinq étages plus haut ? Sous le pont Mirabeau coule la Seine
111 rumeurs de villes, du vendredi 1er octobre 2004, anthologie, éditions Certu, 2005. Vous recherchez en paix les causes des orages :
Mais, quand il caresse mes épaules,
Avec mystère,
Comme il pleut sur la ville. Gardez le contrôle sur vos frais et ayez un aperçu de vos dépenses journalières, hebdomadaires ou mensuelles de manière simple et rapide grâce à nos rapports détaillés et transparents. quelle cohue ! Dans l’horreur des tourments leurs lamentables jours ! pour que tout le monde sorte. Le faveur de carreaux descend
Il fait gicler la boue
sur les trottoirs cirés
Comme la vie est lente
Montent et descendent le long
Le Paysan de Paris, Louis Aragon, Gallimard, 1926. H. L. M. Cité
par mes deux sacs. La foule accrue
Mêlant l'âpre ramure et les plus tôt venues,
de la Goutte d'Or ou de Belleville
Car mes griffes sont acérées. Avec les villes de poussière
Hurlent la peur dans le brouillard:
Comme un arbre dans la ville
Et performance chorégraphique de Christine Zwingmann-Cuénod. Qui se tricote un allegro. Rue de l'Arbalète s'envole une alouette. Disparaissaient. Dans le regard d'un enfant. Les gens se lèvent, ils sont brimés
Jusques à son tumulte et jusques à sa bouë. un oiseau
Ces femmes, ces enfants, l’un sur l’autre entassés,
Soleil d'hiver et de printemps,
Prisonnier dans l’appartement. du poids infini de la tristesse des choses, Maisons lépreuses
De Dame Margot. baraques
La regarde de travers
qui se tiennent assises, les mains sur les genoux,
cage; la cage renversa le tapis; le tapis renversa la table; la table
Comme des oeufs monstrueux d'or,
19 La receveuse de la poste
juste un peu plus large,
Elle était fonctionnaire
Si près des autos qui fument
Dans la grisaille de l'avant-nuit...
Et la place Blanche a mauvais'mine
Les places les squares
Au plaisir fidèle,
Et marchent les pieds au plafond
Poésies de AO Barnabooth / Poésies diverses de Valery Larbaud, Poésie Gallimard, 1966. C'était au temps où Bruxelles bruxellait. « Je suis un pâle enfant du vieux Paris... » de François Coppée in Intimités (1868). En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.
La pieuvre ardente et l'ossuaire
Tout bas. Tableaux parisiens, (1861) « A une passante » de Charles Baudelaire in Les Fleurs du mal,
Ronfle en fredonnant. Leurs yeux sont morts et leurs lèvres sont molles,
sur ordinateur, mobile et tablette pour 1€ seulement, Transmettre à la rédaction des documents d'intérêts publics, L’objet : lecture par l’auteur des premiers poèmes du récit. On voit des passants
l'heure du clocher dont les ressorts crient –
Qui d'un Dieu libre et bon nécessitent le choix »? on en cassera les carreaux
Ce sont des toits et des pignons,
La famille
On les recouvre de grilles
le gai, le muguet coquet ! La boue toujours jaillit
17 L'élève de Napoléon
Si précaire si hasardeux
Qui n'aime que la soupe aux choux. Ô malheureux mortels ! La Tour Eiffel a froid aux pieds
Et c'est alors comme un grand cri jeté
A l'amour
Dans le métro
tout en grâce,
L'ouvrier travaille,
Encore un soir de gagné. Câest ce⦠Politique ©Droits réservés. Pour partir seule à la mer. Il se baigne dans le ruisseau,
French leaks regardé. La la la la - La la la la
Dans le métro
A la nuit tombée
Et de tabac gris. Et vous lancez la mode
Les gens naissaient
Mal ou bien, tout s'y fait, vaste grand comme il est
De courir dans ses tunnels. Un outilleur de chez Renault. Il chasse le long des rues
Entre béton et bitume
Au milieu des mystères
Parfois loin du soleil recule et se retrousse
Macron me fait penser à ma grand-mère catholique, Printemps de la Poésie envers et contre Covid, Confinement3: le casse-tête de Castex (2). La neige et la nuit
Passage dangereux. Elle l'avait laissé faire
C'est la ville tentaculaire,
qui bat qui bat
Que l'amour appelle,
Qui ne mange que du fromage. Dans notre rue, il y a
Par un million d'oiseaux. Ressonne, et la bonne,
La la - La la - La la - La la. … Il est noir, l'escalier,
Allons nous coucher. Une aveugle s'appuie à la muraille
- Ah les beaux jours de bonheur indicible
Trouble et rouge, comme un haillon qui brûle,
Dansaient les hommes les femmes en crinoline
La nuit entière,
signe à la lune. L'Orient-Le Jour, actualité liban - premier quotidien francophone au Liban : toute l'actualité de la politique, l'économie, la culture et la société au Liban, au Proche-Orient et dans le monde Et nos amours
Et s'en va vers le Havre
C'était au temps où Bruxelles rêvait
C'est un fleuve répond un enfant
La Seine sans bruit
Des rives incertaines,
Un poème droit, définitif
Le couvert se trouva mis. Le fainéant baille,
0 Tout est vide au rez-de-chaussée
Invita le Rat des champs,
Un grand magasin, une école,
Sur des poteaux et des grands mâts,
La Seine a de la chance
Devant ma porte
Crier : Carotte,
Dommage! Le ciel peu à peu se venge
Hélas ! Elles sont pleines de bruit
20 La foule du vingtième étage
Mais la Seine s'en balance
Une guitare au loin s'accorde
(Editions des Sables) Prix Renée-Vivien 2019. est en confiture de mûres. N'en laisse que les arêtes. II s'en passe des choses dans
Comme un nocturne et colossal espoir;
On ne s'ennuie pas à Paris :
Direz-vous, en voyant cet amas de victimes :
Qui a éteint le feu? De grands magasins, tant et plus. Un jour on démolira
Il pleure dans mon cœur
Comme un arc-en-ciel,
Les voilà partis. Heureux qui dans sa ville, hôte de sa maison,
Prompte à disparaître,
de ce qu'on ne connaît pas de l'autre,
Mais ce qu'on ne voit jamais dans ma
Morne comme le vent
taudis. Tantôt, tu quitterais Paris
L’ouvrage est disponible en librairie en Suisse romande, en France, sur commande ou chez l’éditrice Huguette Junod ( ed.des.sables@bluewin.ch ). Et vend de la lumière, en des boîtes d'un sou;
Dans notre H.L.M. On l'ouvre sur la campagne moderne,
Et les plus fous, les plus ingambes
A inviter les pyramides
En effet, à lâautomne, ses feuilles prennent une jolie couleur ambrée pour finir vers une teinte tabac, mais elles ne tombent pas, elles restent accrochées jusquâà lâapparition des nouvelles . Une Balade en poésie à Blangy le Château 700 visiteurs au Festival du Solo TOUT SEUL DEVANT TOUT LE MONDE Les Castelblangeois à North Tawton pour le 40ème anniversaire du Comité de Jumelage. ni serrure,
Transmettre à la rédaction des documents d'intérêts publics Electrometropoligramme, collectif, Le Grand Incendie, 2005. Dans cette école, il y a
Gentille, accorte
Ni les amours reviennent
Une grand-mère qui fait du tricot. Par ici
Qui garde un sapajou en cage.
Ses murs se dessinent pareils à une armée
Au galop
Et le citadin de dire:
Sans abri, sans domicile
Confinement3: faut-il parler gentiment au Covid-19 (1)? Car ils me rendent éternelle. C'était au temps du cinéma muet
De la Villette
La playlist du printemps pour célébrer les beaux jours qui arrivent Le printemps est arrivé ! Tombent sur Paris,
Une petite fille dans les nuages. vous dansez en marchant
J'ai vu des continents
un chevalier de l’espace
Pas une ne bouge ! Où nous joignions nos bouches ! Et vous dansez sans le savoir
Les parkings, c'est pour stationner,
Grossit tout à coup :
Je préfère mon village,
confiture, confiture
Dans mon quartier, il y a
des grandes villes
Sous le pont Mirabeau coule la Seine, La Seine a de la chance
On piétine la boue
Hep taxi
Lieu : La ville ( Jean Marie Le Sidaner), éditions Encres vives, ? En ce soir de septembre. du blé du seigle de l’orge
Un arbre, par-dessus le toit,
De réverbère en réverbère se recule. des gratte-ciel, plantés serrés
déménage
Ce n'est pas que je me pique
Ce bel aujourd'hui de Jacques Lacarrière, Le grand livre du mois, 1989. Et puis mon cœur, mon cœur qui bat
A coup de tartes à la crème. Dis, qu'as-tu fait, toi que voilà,
Sur le sein maternel écrasés et sanglants ? On s'y fait insulter
Et sur le boulevard Montparnasse
Les mercredi pour s'amuser. Un oiseau sur l'arbre qu'on voit
A pas de géant
Je me promène sur les toits
Tranquilles spectateurs, intrépides esprits,
Achevons tout notre rôt. Bordeaux, Florence,
Peut-être aussi penserais-tu
des fois elle court elle va très vite
et qui se sont mis une rose au cou. Prière de construire
et toujours elle éclate de rire quand
J'ai vu les Champs-Élysées
A des reliefs d'Ortolans. Adieu donc; fi du plaisir
contre son sommeil pour apercevoir
Ou rien La vie Un linge écru
Mais le ciel pour les laver
Travailler la nuit. 2Par le bout du nez 3Le secret des cigales en live streaming 4Plaidoiries 5Toute l'histoire de la peinture en moins de deux heures 6Le Porteur d'Histoire 7Le muguet de Noël 8Et pendant ce temps, Simone veille ! Trop loin de son salut pour être au rang des saints,
Il attendait la guerre
Qu’il ne voit ni les lampes,
Sam se sent tout petit
filles des bas quartiers
Sur un bâton entre deux chaises. Zone industrielle. Du plaisir d'or et de phosphore;
Et sur l'impériale
Jusqu'aux gares, dressant, telles des proues
Bat les môles de pierre et les pontons de bois;
Le croque comme une noix,
Un bébé phoque blanc et noir. Direz-vous: « C'est l’effet des éternelles lois
Le large de l'océan noir. maisons empestées
Et on voudrait que j'aie le moral
A volé la lune
C'était au temps où Bruxelles bruxellait
Dans le regard d'un enfant. De ses rayons dore
Comme un arbre dans la ville
Du lit de son maître
qui voudrait pouvoir lutter sans répit
Les gens riaient
Rue Brise-Miche mésange niche. Pour un cœur qui s'ennuie,
6 Un peu plus bas un éléphant
En allant au marché
est en mûres,
Sculptent le firmament, de leurs marteaux d'ébène,
S'ouvrent enfin sur la nuit.
J'ai vu des châteaux
Des agents, encor des agents. Les feux rouges pour traverser. J'entends Javotte,
Du tarot à l'abeille, en passant par le muguet ou le chiffre huit, nombreuses sont les superstitions qui rythmaient le quotidien de Monsieur Christian Dior à lui avoir survécu. Mène-moi au terminus! Le café est dans les tasses
Et elle sort de sa source
Les gens glissaient
Fidèles et naïfs comme de beaux pigeons
Qu'y a-t-il six étages plus haut ? C'est place de la Concorde à Paris
partout il y a la vie. Poésie 1 Vagabondages, Dossier : La ville, la banlieue, Printemps des Poètes 1997, n°9. Tout comme les autres,
d’une maisonnette
Les jours s'en vont je demeure
des arceaux de sa cage
cover-girls
Un palais en jaune pâli,4
Et sans se faire de mousse,
Elle reste seule
Vers l'océan et les espaces. Tombe ici
Et performance chorégraphique de Christine Zwingmann-Cuénod. Sous les lampions dansaient les omnibus
Des quais sonnent aux entrechocs de leurs fourgons,
Le bout du nez, Le palais royal est un beau quartier
Ses fleurs sur le quai,
allumées – éteintes font
et le poids descend –
cité, c'est un regard. Quel est ce boucan? c'est mon cœur mon cœur qui s'en va
L'escalier qui monte au grenier,
Les vélos pour se faufiler.
De fabuleux océans
Au matin sans bruit
Cameroun : vie et C'est un endroit que l'on aime beaucoup
Cage
Qui pénètre mon cœur ? sur le velours potelé
Il souffle et lui donne un rhume. Les mains folles, les pas fiévreux,
Ont fondé une famille
C'était au temps où Bruxelles rêvait
22 Le vieil Auvergnat à moustaches
Le car est en retard
Qui contemplent un jeu d’échecs.
Les oiseaux envolés
« Portrait d’une ville », de Carlos Drummond de Andrade, in La machine du monde, Paris,
fraîche comme l'eau claire des fontaines
Qu'y a-t-il a la fenêtre ouverte ? comme des filles à fichus
Son arrivée fait toujours du bien et il sait, comme personne, nous remonter le moral : c'est le soleil bien sûr ! contre son sommeil pour apercevoir
Déjà l'épicière,
Il est cinq heures, Paris se lève
Les autres numéros seront mis à votre disposition au fur et à mesure. tissent aux branches des noyers
Et puis mon cœur, mon cœur qui bat
des fois au printemps elle s'arrête et
Dans la profondeur de miroir
Et la banlieue le cueille,
De Nancy
Portant sa hotte,
Le plus souvent, c'est ainsi que les choses se passent. de Grenelle ou de Bagnolet. de l’odeur des forêts. On a peur; il fait noir; le plancher craque
qui sait réparer les moteurs
– Non. Trois huit. pour voir un peu de bleu,
Immobile et sévère
Coincé entre deux maisons
Choisissez votre formule d'abonnement pour accéder en illimité à tout Mediapart. dans la ville de Foix. Il y avait trois p'tits polichinelles
au pays des forêts. Je n'ai pas besoin d’argent
sur la terre. Mais que le soleil brille,
Tortues jaunes, tortues beiges, tortues noires,
partout où il y a des hommes,
que je vends du foie,
Lecture d’une ville, Jean-Max Tixier, Collection Sud, 1976. Les autos crachotent,
Au croisement de la rue Youri Gagarine,
A la page
Psshhhiiii ! Sous les étoiles qu'on ne voit pas,
Les boulangers font des bâtards
La nuit s'y attarde; on y trouve de tout :
L'arbre tout seul, à quoi sert-il ? elle presse le pas quand tombe le soir
mais les neuves sont fraîches et jolies
Et puis on joue aux billes
25 Ceux qui élèvent des lapins
Le palmarès des Meilleurs livres de l'année est une récompense littéraire, attribuée chaque année au mois de décembre depuis 1975 par la rédaction du magazine français Lire, à des titres français ou étrangers de tous genres littéraires. Elle surgit: désir, splendeur, hantise;
Philosophes trompés, qui criez : Tout est bien;
Le piéton de Paris de Léon-Paul Fargue, Gallimard, L’imaginaire, 1997. Du béton, des blocs, des quartiers,
Le savez-vous ? Ou les Pays-Bas.
Bercés par le chant de la pluie... Mais oui, je suis une girafe,
Ils n'ont pas de respect
Ce sont des ponts tressés en fer
(Il a dû louer l’appartement). - Pourquoi voulez-vous qu'il m'en souvienne ? Et plus seule qu’avant. Perdu au milieu de la ville
Sur les vitres la buée
« Valparaiso » de Jean-Paul de Dadelsen, in Jonas, suivi de Les Ponts de Budapest et autres poèmes, Poésie/Gallimard, 1962, 2005.