famille subsiste de la noblesse française
Les descendants des enfants naturels nont pas été les seuls à se fondre dans lensemble de la population. Pierre-Jean-Marie R., comte du Cleuziou, mousquetaire de la, Christophe III de Rarécourt de La Vallée, seigneur de Pimodan, capitaine d'une compagnie de 100 arquebusiers à cheval, major des villes et gouvernements de Toul et de Verdun, grand bailli d'épée de Toul, avant 1656. Acte récognitif : Certificat de noblesse du, Claude Le Lou, seigneur de La Renaudière, en ST-Donatien, maintenu noble en Bretagne le 15 novembre 1668 (. Autre Jacques, maintenu noble par arrêt du Parlement de Bretagne, le 19 août 1782 (, Mathurin Le Noir, seigneur de Tournemine, en Pordic, (Côtes d'Armor), maintenu noble en Bretagne en 1669. Capitoulat de Toulouse, quartier Saint-Pierre en 1746. Les quartiers de noblesse, n’ont jamais été utilisés par la royauté française, qui ne s’occupait que de la lignée mâle pour l’estimation de la noblesse. Download. Augustin de La Bigne, docteur en droit à Rennes, conseiller à la cour royale en 1816 (, Charles de La Celle, écuyer, sgr. François D de La S., reçu page du Roi sur preuves de 1785, chasseur noble à l'Armée de Condé (, Jean du Desnay, maintenu noble en Bretagne, le 27 juillet 1669. État de la noblesse française subsitante, Authier et Galbrun. Louis-Joseph P., de P., membre de la noblesse aux États de Bretagne de 1717. Acte récognitif : Maintenue de noblesse de Normandie en 1666 par Messire de Chamillart, en faveur de Georges Piton, sieur du Manoir. Jean-Baptiste Blanchet de La Sablière, membre de l'Assemblée de la noblesse du bailliage d'Étampes pour l'élection des députés aux États généraux de 1789 (, René-Antoine Blocquel de Croix, seigneur de Wismes-en-Artois, reconnu noble en 1710. (D. Labarre de Raillicourt, Maintenue de noblesse en Auvergne le 28 juillet 1667. MM 815). Hyacinthe-Vincent-Marie de G., lieutenant général en 1817, grand'croix de Saint-Louis en 1820 (, Guillaume Gilart, seigneur de Keranflec'h, en Milizac (Finistère), maintenu noble d'ancienne extraction le 4 septembre 1669 (, Yves, marquis de Goesbriand, mestre de camp, gouverneur du château de Taureau, à l'entrée de la rivière de Morlaix, le 10 mars 1662, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 28 juin 1669 (, Sébastien Goguet, reçu auditeur à la Chambre des comptes de Nantes, le 14 septembre 1734 (, Jean Goujon de Grondel, commandant en chef à l'île de Groix de 1746 à 1748, chevalier de Saint-Louis. Chatellenie de Vibraye érigée en marquisat en avril 1625, Lettres enregistrées au Parlement le 17 mars 1629 et en la Chambre des Comptes le 18 juin 1649, en faveur de Jacques Hurault. Gentilhomme de la Chambre de Charles-Quint, anobli le 12 août 1533 par Lettres Patentes. Famille de, Alexandre de Cahouët, inspecteur général des Ponts et Chaussées, est anobli le 26 avril 1817 (, Louis-Jean de Cargouët, maintenu noble en Bretagne le 15 avril 1669 (, François de Carheil, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne le, Philibert de Carné, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, dans le ressort de Lesneven, le, Jacques-Marie Carron, avocat, anobli le 17 février 1815 (, Guillaume de Castel, chevalier, maintenu noble en Bretagne le 8 avril 1669 (, Jean de Castellan, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne le 7 décembre 1668 (, Jacques de Cavelier, seigneur de Mocomble en Normandie, conseiller du roi, trésorier général de France à Rouen, le 3 mai 1652. (, Aimeric-Joseph de Durfort, marquis, puis duc de Civrac, baron de Lalande, comte de Blaignac, seigneur de Genissac et de Rigaud, colonel du régiment Royal-des-Vaisseaux, puis ambassadeur à Naples et à Vienne, chevalier d'honneur de Madame Victoire de France en 1771, créé duc de Civrac, le 24 novembre 1774. Gabriel de F., conseiller du roi en ses Conseils d'État, conseiller au Parlement de Bretagne, le 19 août 1633, président à mortier le 20 décembre 1647, député par le Parlement vers le Roi Louis XIV, le 17 octobre 1651. a toujours été particulièrement compétente. La noblesse de sa famille est trop ancienne pour que les titres originaires aient pu être conservés pendant plusieurs siècles dans une province qui a essuyé tant de révolutions... (Archives de Meurthe-et-Moselle, AD MM B269, d'après l'inventaire-sommaire des archives départementales antérieures à 1790). Gilles G., conseiller-secrétaire du roi en 1720, directeur des monnaies à Rennes. La liste des familles subsistantes de la noblesse française est scindée en deux parties pour des raisons de longueur : . Jean-Baptiste de F., garde du corps du roi, le, Pierre Frotier, chambellan du roi Charles VII, en 1444. Julien-Joseph P. du S., fondateur en 1742, dans son château des Monts, d'une manufacture d'indiennes, érigée en manufacture royale et transférée à Rennes. Reconnue noble par le Conseil Supérieur de Corse le 11 février 1771, en exécution de l'édit du Roi de 1770. Authier et Galbrun, Liste des familles subsistantes de la noblesse française (L à Z), anoblies et/ou titrées au cours des différents régimes du, Association d'entraide de la noblesse française, Adhémar de Cransac (d') et - de Lantagnac, Anthouard de Vraincourt (d'), - de Wasservas, - d'Abria, Audiffret (d') et Audiffret-Pasquier (d'), Barrigue de Fontainieu et – de Montvallon (de), Bazelaire de Lesseux (de), - de Ruppierre, - de Saulcy, et - de Boucheporn, Beaumont d'Autichamp (de), - du Repaire, - de Verneuil, - d'Auty, et - de Beynac, Bellet de Tavernost et - de Saint-Trivier, Bernard de Montessus de Rully et - de Ballore, Bigault de Cazanove (de), - de Parfourut, - de Fouchère, et - du Granrut, Bosquillon de Frescheville et - de Jenlis, Cassagne de Beaufort, - de Miramon, - de Miramon-Pesteils et - de Miramon Fitz-James, Castellane (de), - Esparron, - Majastres et - Norante, Chamboduc de Magnieu et de Saint-Pulgent (de), Chicoyneau de Lavalette et du Coëtlosquet, Courrèges (de), Courrèges d'Agnos (de), Courrèges d'Agnos de Parage (de), Farcy de Pontfarcy (de) et - de Lavilledubois (de), Francqueville (de) et Francqueville d'Abancourt (de), Froissard de Bersaillin (de) et Froissard de Broissia (de), Gondallier de Tugny et - de Tugny-Vergennes, Hauteclocque (de) et Leclerc de Hauteclocque, Charles Angélique François Huchet de La Bédoyère, Dictionnaire historique de toutes les communes du département de l'Eure, Jean-Baptiste Louis Laugeois d'Imbercourt, Avis de décès le 24 avril 2016 de Armand Desbiez de Saint-Juan, VisuArchives, Inventaires d'archives et documents utiles aux généalogistes aveyronnais, Liste des familles subsistantes de la noblesse d'Empire, Liste de familles éteintes de la noblesse française depuis 1900, Liste de familles éteintes notoires de la noblesse française, Liste des familles françaises subsistantes dites de noblesse inachevée, Liste des familles françaises subsistantes de la noblesse pontificale, Liste des familles de la noblesse française d'Ancien Régime (A à K), Liste des familles de la noblesse française d'Ancien Régime (L à Z), Liste des familles françaises anoblies et/ou titrées au XIXe siècle, Liste des familles contemporaines de la noblesse belge, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Liste_des_familles_subsistantes_de_la_noblesse_française_(A_à_K)&oldid=181387272, Liste en rapport avec l'histoire de France, Page utilisant plus de deux colonnes de références, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Jean-Guy G., seigneur du Boisdulier, en Chelun (Ille-et-Vilaine), contrôleur général des Domaines et Bois en Bretagne, après 1735 (, Noël-Alain Garnier, seigneur de la Ville-és-Bret, en Caulne (Côtes d'Armor), membre de l'ordre de la noblesse aux États de Bretagne de 1748 et 1754. Par acte de Reconstitution. n'y sont pas incluses. Claude-Louis, Gabriel, maréchal de camp, pair de France en 1823 (, Joseph-Marie Sioc'han, seigneur de Kersabiec, en Plounévez-Loc'hrist (Finistère), maintenu dans sa noblesse en 1717. Admission aux Pages de la Petite Ecurie, le 21 mars 1776. Louis de La V., né en 1777, membre de l'Armée Royale de Bretagne en 1794, chevalier de Saint-Louis et de la Légion d'Honneur (, François du Garreau, gentilhomme ordinaire de la Chambre, capitaine-exempt des Gardes écossaises du corps du Roi, en 1650. François de Bouvet anobli par lettres données à Bar le 12 novembre 1501 par le duc René II de Lorraine, avec lequel il participa à la guerre d'Italie. François-Hyacinthe de T., mousquetaire de la garde du roi en 1722. La famille de Meaux est une très ancienne famille noble d'extraction chevalresque (1360), le premier aïeul est Denis de Meaux. L'Association d'entraide de la noblesse française (ANF) est une association française créée en 1932 et régie par la loi de 1901, dont le but premier a été de venir en aide à des familles nobles dans le besoin, mais qui mène également des études historiques sur les familles nobles. Jean de Vaulchier, Jacques-Amable de Saulieu et Jean de Bodinat, Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé «. Louis-Alexandre de G., calviniste, passé en Angleterre à la révocation de l'Edit de Nantes, en 1685. Anthoine-François de Girval, seigneur du Vigan, (Gard), capitaine des Chevau-Légers le 7 octobre 1652, gentilhomme ordinaire du roi le 28 mai 1663, gouverneur des Pages de la Petite Ecurie. La famille de Damas est une famille subsistante de la noblesse française, d'extraction chevaleresque, originaire du Forez et répandue en Bourgogne, Nivernais, et Bresse. Florentin-Claude de Kerautem, émigré, puis chef de division de l'armée catholique et royale de Bretagne, pris et fusillé par les bleus au village de Baraval, en Saint-Aignan (Morbihan), le 2 ventose An II (, Pierre-Maurice de Kergariou, seigneur de Coëtilliau-en Poubezre (Côtes d'Armor), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 21 mars 1669. Si elle nous fascine autant, c’est à cause de la longévité et de l’histoire dont elle témoigne. Un échevin d'Angers en 1684 (Célestin Port, Acte récognitif : Preuves de noblesse délivrées le, Acte récognitif : Maintenue de la généralité de Rouen, élection de, Acte récognitif : Arrêt du Conseil du roi du. 1.1.1. Il a été élu, Pierre Dibart, seigneur de La Villetanet (Ille -et-Vilaine), maintenu noble en Bretagne le 17 mai 1669. Famille représentée aujourd'hui par Yseult et Sabine nées en 1929 et 1931 à Saïgon. Alain Magon de La Giclais, établi à Winnipeg, (Canada), au début du, Jean Magon, secrétaire du roi, le 28 juin 1674, maintenu noble en Bretagne, le 14 juin 1701. 10.3917/adh.131.0013. Pierre-Eugène-Joseph d'H de T., émigré à l'Armée de Condé (, Jean, Hersart, seigneur de La Villemarqué (Ille-et-Vilaine), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne le 24 mai 1669 (, Yves-Michel Hervé du Pehhoat, commissaire du roi en ses conseils en 1774, subdélégué de l'Intendance et commissaire des États de Bretagne en 1776, maire de Saint-Paul, arrêté le 13 brumaire, an II, comme père d'émigrés et agent royaliste, guillotiné à Brest le 7 juillet 1794. 3/ Arthur-Marie de Ch.né le 26 août 1796, officier de la Garde Royale, créé vicomte héréditaire sur institution de majorat du 26 mai 1827 (, François Chicoyneau, baron de Lavalette, chancellier et juge de l'Université, intendant du Jardin royal des Plantes et professeur d'anatomie et de botanique à l'école de médecine de Montpellier, conseiller à la cour des comptes et membre de l'Académie des sciences de cette ville, réputé l'un des hommes les plus érudits de son temps. Louis-François-Armand, de W., baron de Limé, blessé à Fontenoy le 11 mai 1745. Une branche a relevé Trémont par voie d'adoption. Guy-Joseph-Henri de Fontaines, président du Comité royaliste en 1793 (, Gilles de Forges, seigneur de La Gaudinaye, en Glénac, (Morbihan), maintenu noble en Bretagne, en 1669 (, Hilarion de Forsanz, seigneur du Houx, en Talensac (Ille-et-Vilaine) (, Laurent du Fou, seigneur de Bézidel, en Cléguérec (Morbihan), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 11 mai 1669. La noblesse d’épée est la plus ancienne. Charles-Louis T., de B., colonel des grenadiers de France en 1749, maréchal de camp en 1770, commandeur de l'Ordre de Saint-Louis (, Antoine, Jean-Marie, comte de Thévenard, chef d'escadre en 1784, brigadier des armées navales en 1786, ministre de la marine en 1791, comte de l'Empire le 9 janvier 1810, sénateur le 5 février 1810, pair de France le 2 juin 1814, membre de l'Académie des sciences, Grand-Officier de la Légiond'Honneur, commandeur de l'Ordre de Saint-Louis (, Pierre-Jacques-Philippe Tillette, seigneur de Mautort (Somme), lieutenant au régiment du roi-Infanterie.